Au moins 200 personnes sont mortes et 200 000 déplacées. Les autorités redoutent l’apparition d’épidémies de choléra et des paludisme chez les sans-abri.
Une semaine après le cataclysme le plus destructeur de l’histoire récente du Mozambique, les quelque 380 000 sinistrés recensés représentent désormais autant de bouches à nourrir d’urgence.
A Madagascar, au Mozambique et au Malawi, plusieurs centaines de milliers de personnes ont été touchées par le cyclone le plus long de l’histoire et à la trajectoire inédite.