Respect de l’environnement, des animaux, refus d’une agriculture conventionnelle énergivore… Face à l’engouement grandissant de leurs étudiants pour les modes de production alternatifs, les écoles d’agronomie s’adaptent lentement.
Tiraillés entre les réalités des entreprises et l’impératif climatique, de jeunes ingénieurs disent vivre une « dissonance cognitive ». Certains renoncent à une carrière traditionnelle.