Le gouvernement britannique dit prendre le sujet « très au sérieux » tout en soulignant que le risque pour la population dans son ensemble était « extrêmement faible ».
Si l’on dispose de peu d’éléments sur les causes de décès au Pérou, au Brésil, en Inde et en Espagne liés à la variole du singe, le taux de létalité est estimé à 0,05 % depuis le début de l’année.
A l’instar de plus de 1 700 personnes en France, Jérémie, Mikaël, Paul et Ynes ont contracté récemment le virus de la variole du singe. Ils déplorent un manque de suivi médical et la difficulté à supporter un isolement très strict.