Cette autorisation délivrée lundi est une première du genre dans le monde. L'objectif n'est pas directement thérapeutique, mais consiste à mieux comprendre la génétique du développement humain précoce.
Le généticien Patrick Gaudray, membre du Comité consultatif national d'éthique (CCNE), répond aux questions du Figaro sur l'autorisation d'une campagne de recherche impliquant la manipulation génétique d'embryons humains.
Point de discussions lors des États généraux de la bioéthique qui s'ouvrent ce jeudi, la modification génétique sur les embryons humains fascine et inquiète.
C'est une des toutes premières autorisations de manipulation d'embryons humains. Il s'agit de comprendre pourquoi certaines femmes font des fausses couches.