L'Europe cible en priorité la réduction des impacts sanitaires liés à la pollution atmosphérique. Les mesures proposées y participent, mais des mesures supplémentaires s'imposent en zone urbaine pour atteindre une qualité de l'air correcte.
Au-delà des bénéfices sanitaires, une réduction mondiale des émissions de particules fines modifierait le rendement des cellules PV, estime le JRC. Les effets d'ici 2030 ne seraient pas toujours favorables, estiment les chercheurs européens.
En décembre 2013, la Commission a proposé une nouvelle série de mesures pour réduire la pollution atmosphérique. En ligne de mire, les impacts sanitaires qu'elle souhaite réduire de moitié. Reste à convaincre des Etats membres réticents.
L'AEE a évalué entre 59 et 189 milliards en 2012 les coûts sanitaires et environnementaux liés à la pollution atmosphérique et aux émissions de CO2 des 14.000 principaux sites industriels européens. Des coûts en baisse depuis 2008.
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Les chercheurs s'intéressent de plus en plus à l'impact de la pollution de l'air sur les cultures. Plusieurs polluants sont désormais à l'étude, notamment l'ozone, pour évaluer leurs impacts sur les rendements, la qualité des produits et la fertilité des sols. Le séminaire Primequal «...