« Le prix du gaz est revenu au niveau d’avant la guerre en Ukraine »

Le Monde, le
« Le prix du gaz est revenu au niveau d’avant la guerre en Ukraine »
Du fait d’un automne-hiver très doux et des économies, la consommation de gaz sur le Vieux Continent a reculé et fait chuter les prix de manière spectaculaire. Mais la sortie de la Chine de la politique zéro Covid, en dopant la demande, pourrait remettre en cause ce mouvement. L’Europe n’en a pas fini avec l’énergie chère, estime Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
Articles qui devraient vous intéresser :

Guerre en Ukraine : la Russie ravage aussi la nature

Natura Sciences
Guerre en Ukraine : la Russie ravage aussi la nature
- Incendie de forêts, explosions dans les usines chimiques, cétacés échoués… Un an après le début du conflit en Ukraine, les ravages touchent aussi la nature, la pollution s'accumule. Cet article Guerre en Ukraine : la Russie ravage aussi la nature est apparu en premier sur Natura...

Guerre en Ukraine : qu'est-ce que la Raspoutitsa qui menace d'enliser l'armée russe ?

Futura Sciences
Guerre en Ukraine : qu'est-ce que la Raspoutitsa qui menace d'enliser l'armée russe ?
La Raspoutitsa est une période pendant laquelle les sols de Russie, d'Ukraine et de Biélorussie se transforment en gigantesques mers de boue. Un phénomène lié à la nature de la terre et aux conditions météorologiques qui a déjà compliqué l'avancée des troupes des grandes guerres du...

Prix des carburants : les distributeurs accusés de marges excessives

Le Monde
Prix des carburants : les distributeurs accusés de marges excessives
Le prix des carburants à la pompe a baissé en France par rapport au début de l’année 2023, mais, selon l’association de défense des consommateurs CLCV, la marge brute à la pompe est, en moyenne, supérieure de 60 % à celle d’avant la guerre en Ukraine.

Guerre en Ukraine : au Moyen-Orient et en Afrique, l’approvisionnement en blé inquiète

Le Monde
Guerre en Ukraine : au Moyen-Orient et en Afrique, l’approvisionnement en blé inquiète
Très dépendants de la Russie et de l’Ukraine, l’Algérie, l’Egypte, le Liban, la Syrie ou le Yémen craignent des pénuries de céréales après les arrêts de livraison et l’augmentation importante des prix.