Energies fossiles : les banques françaises ont toujours les mains sales

Terra Eco, le
Par
Energies fossiles : les banques françaises ont toujours les mains sales
Au moment d'investir, nos banques arrosent le pétrole et le charbon, mais boudent les renouvelables. C'est ce que nous apprend un rapport de deux ONG, qui s'attaquent en ce moment à BNP Paribas. Métro de Paris, station Bercy, quai de la ligne 6. Sur l'affiche en 4x3 qui annonce les masters de Paris-Bercy – ou BNP Paribas Masters – avec un Jo-Wilfried Tsonga plus grand que nature, s'est incrusté un plus petit tennisman portant un costume trois pièces et un masque à gaz. « BNP Paribas, le climat n'est (...) - COP21 / Climat
Visiter le site
Articles qui devraient vous intéresser :

Énergies fossiles : Les engagements de banques françaises “insignifiants”, dénonce Reclaim Finance

 Natura Sciences
no preview
- Les engagements des banques pour réduire leur financement au secteur pétrolier et gazier sont "insignifiants". Voici la sentence prononcée par la directrice générale de l'ONG Reclaim Finance, Lucie Pinson. Cet article Énergies fossiles : Les engagements de banques françaises...

Les banques françaises à reculons devant l'objectif des 2°C

 Actu Environnement
Les banques françaises à reculons devant l'objectif des 2°C
Selon un inventaire des 25 plus grandes banques mondiales, dont cinq françaises, publié par Fair Finance International, les investissements dans les énergies fossiles demeurent en moyenne près de dix fois supérieurs aux soutiens aux ENR.

Depuis 2016, les banques ont augmenté leur financement d’énergies fossiles

 Le Point
Depuis 2016, les banques ont augmenté leur financement d’énergies fossiles
Plusieurs ONG denoncent cette augmentation de pres de 6 % depuis la signature des accords de Paris en 2016, notamment du cote des banques francaises.

Financement des énergies fossiles : un progrès relatif du côté des banques

 Actu Environnement
Financement des énergies fossiles : un progrès relatif du côté des banques
Les 37 plus grandes banques internationales en 2016 ont réduit leurs financements directs aux énergies fossiles de 22% par rapport à 2015. Si ce premier pas est à saluer, des efforts reste à faire dans le choix des entreprises qu'elles soutiennent.