Le danois Orsted a annoncé qu’il devait déprécier plus de 2,1 milliards d’euros d’actifs de ses comptes. Le suédois Vattenfall revoit ses ambitions à la baisse. La remontée des coûts de production et des taux mettent un sérieux coup d’arrêt à un secteur qui était devenu compétitif, observe Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».