Les femmes qui souhaitent avorter mais qui sont contraintes de garder l’enfant, auraient davantage de conséquencespsychologiques que celles qui peuvent avoir recours à l’IVG.
Plusieurs équipes de chercheurs ont détecté dans les spermatozoïdes de souris soumises à un stress répété la présence d'ARN non codants qui rendraient leur descendance moins sensible au stress.
Le stress appelle une réaction active. Le Dr Christine Reynaert, spécialisée en médecine psychosomatique donne quelques pistes pour faire baisser plus rapidement les hormones du stress.