Une question portée par les militants écologistes se fait de plus en plus pressante : les médias doivent-ils encore utiliser les termes de “changement climatique” ou de “réchauffement climatique” au risque d’omettre l’urgence qui se profile ?
Périphérique, musées, rencontres sportives : les opérations sont quasi quotidiennes et se veulent spectaculaires, pour attirer l’attention des médias et de l’opinion publique.
Entre 2000 et 2016, les personnalités climatosceptiques ont été plus présentes dans les médias que les climatologues, d’après une nouvelle étude. Ce déséquilibre a pu ralentir la prise de conscience du public.
Un rapport signé par plus de 11.000 scientifiques issus d’un large éventail de disciplines résonne aujourd’hui comme un nouveau cri d’alarme. Selon ces experts, notre Terre fait aujourd’hui « face à une urgence climatique claire et non équivoque ». Ils proposent quelques pistes pour...
Discuter ou agir. « Le Monde Campus » a interrogé militants, scientifiques, politiques, médias, sur la place du débat et de l’action radicale dans la crise climatique.