Les autorités sont poussées à agir dans ce qu’elles pensent être l’urgence du présent plutôt qu’à l’horizon supposé long du climat. L’urgence est pourtant… climatique, constate l’économiste dans sa chronique.
En publiant, le 24 janvier, des indicateurs climatiques, et en affirmant sa responsabilité dans la transition, la Banque centrale européenne a franchi un pas important, analyse l’économiste dans sa chronique.
Banques, assurances et fonds d’investissement s’inquiètent du « risque de transition », c’est-à-dire de la perte de valeur des actifs liés à l’économie carbonée, observe l’économiste dans sa chronique
Les sources classiques de financement ne permettent pas d’assurer les nombreuses dépenses nécessaires à l’adaptation de nos sociétés au changement climatique. L’économiste propose, dans sa chronique, d’innover par un nouveau mode de création monétaire.
Le financement public a le défaut d’être lent à se déployer, le financement privé celui de privilégier la rentabilité et le court terme, analyse dans sa chronique l’économiste, qui appelle à se tourner vers des solutions innovantes.