Les points de basculement dans les écosystèmes sont très rares

Actu Environnement, le
Par
#Biodiversité
Les points de basculement dans les écosystèmes sont très rares
Alors que les politiques environnementales sont fondées sur le concept des points de basculement, José Montoya, chercheur au CNRS, montre que la dégradation des écosystèmes est en réalité progressive.
Articles qui devraient vous intéresser :

Réchauffement climatique : chercher les indices de points de basculement dans le passé

Futura Sciences
Réchauffement climatique : chercher les indices de points de basculement dans le passé
De-ci de-là, des scientifiques évoquent des points de basculement, des points de non-retour, qui pourraient bientôt être franchis. Du côté de l’Arctique ou de l'Antarctique. Dans la forêt Amazonienne. Ou ailleurs encore. Mais les chercheurs n’ont toujours qu’une compréhension limitée...

5 points de non-retour bientôt franchis et 3 autres qui le seront avec un réchauffement de +1,5 °C

Futura Sciences
5 points de non-retour bientôt franchis et 3 autres qui le seront avec un réchauffement de +1,5 °C
En réchauffant notre Planète, nous menaçons la stabilité de plusieurs systèmes naturels. Si les points de non-retour sont atteints, les conséquences seront catastrophiques. Mais nous pouvons encore les éviter, nous assurent aujourd’hui les scientifiques. En mettant ces points de...

Par le passé, la Terre a déjà franchi des points de basculement

Futura Sciences
Par le passé, la Terre a déjà franchi des points de basculement
Les points de basculement climatiques, comme les appellent les scientifiques. Les points de non-retour, comme ils sont souvent présentés. Vous en avez sûrement déjà entendu parler. Et aujourd’hui, des chercheurs leur donnent un peu plus de réalité en montrant qu’ils ont déjà été...

Inaction climatique : franchir certains points de basculement augmenterait le coût économique de 25 %

Actu Environnement
Inaction climatique : franchir certains points de basculement augmenterait le coût économique de 25 %
Une méta-analyse formulée par des chercheurs britanniques et américains a quantifié l'augmentation du coût économique de l'inaction climatique par rapport à huit points de basculement. Selon l'étude, ce coût pourrait augmenter de 25 %.