Si l'on sait «congeler» des cellules, des gamètes ou du sang, l'objectif est désormais de préserver par le froid des tissus complexes, voire des organes en vue d'une greffe.
Il existe des histoires de personnes «revenues de la mort». Et certaines personnes s’indignent, refusent d’être donneuses d’organes, de peur que le don d’organes les tue alors qu’elles n’étaient pas réellement mortes.
Les traitements contre le cancer peuvent provoquer une stérilité définitive ou temporaire. La cryopréservation des gamètes permet d’envisager une grossesse.
Notre petit pays dont la législation favorise le don d’organes n’est-il pas lésé face à une nation comme l’Allemagne où la loi exige le consentement explicite du donneur?