Alors que les agriculteurs qui manifestaient depuis le début de l'après-midi à Nantes ont annoncé leur retrait des lieux qu'ils occupaient, la police a décidé d'accélérer le mouvement.
La société Aéroports du Grand Ouest demande l’expulsion des onze familles et des quatre agriculteurs installés dans la zone où doit être construit l’aéroport.
Les tirs n’ont pas fait de victimes. Des barrages bloquent toujours les principales routes de l’île, après un appel à la grève générale contre l’obligation vaccinale des soignants et pour des hausses de salaires.
Le plafond de tirs, fixé à 19 % de la population lupine, mais inchangé, mais ces tirs seront facilités et l’indemnisation des animaux d’élevage tués sera plus élevée.
Les quatre agriculteurs historiques, expulsés mais occupants leurs terres, ont signé, mardi, des conventions d’occupation précaires, légalisant leur présence sur les lieux.