Cent cinquante capteurs , capables de mesurer les particules fines et le dioxyde d’azote, vont être répartis cet été dans une cinquantaine d’établissements prioritaires de la ville.
Une étude d'Airparif montre que la pollution au dioxyde d'azote dans les cours d'écoles est comparable à la pollution de fond, plutôt qu'au niveau enregistré dans les rues adjacentes. Conséquence : la valeur recommandée par l'OMS serait respectée.
Une étude menée sur 50 établissements scolaires montre que la pollution de l’air ne s’arrête pas à leurs portes. A Paris, les normes sanitaires ne sont pas respectées.