Sécheresses, vagues de chaleur, précipitations excessives et inondations entraînent, dans la majorité des cas, une détérioration physique, chimique et biologique de la qualité de l’eau des rivières, selon une étude publiée jeudi.
Tempêtes mortelles et inondations d’un côté, sécheresse, incendies et canicules de l’autre : les phénomènes climatiques extrêmes se sont multipliés en juillet et en août, notamment autour du bassin méditerranéen.
Depuis 2003 et particulièrement ces dernières années, les climatologues cherchent à déterminer la part de responsabilité humaine dans les événements climatiques extrêmes. Matthieu Goar, spécialiste environnement au « Monde », explique dans ce podcast le fonctionnement de ces études...
Les pertes sont immenses. Des centaines de personnes, sans compter celles encore portées disparues, sont décédées dans les inondations qui ont dévasté la Belgique, l’Allemagne et d’autres pays d’Europe ces dernières semaines. Une tragédie qui se répète également aux quatres coins...
Une étude sur 2.000 rivières américaines a prouvé que l'intervention humaine sur les cours d'eau démultipliait le risque d'événements extrêmes, tels que les inondations et sécheresses.