Plus de la moitié des coquillages vendus sur les étals viennent d’écloseries, des bâtiments avec des bassins fermés où les parents sont sélectionnés. Une pratique dénoncée par l’association Nature et Progrès.
Les associations de protection de l’environnement tirent la sonnette d’alarme et dénoncent une accélération du phénomène depuis l’élection de Lula au Brésil fin octobre.