Le premier ministre britannique, qui sort renforcé d’une campagne de vaccination réussie, consent à la demande des familles de victimes et des partis d’opposition, mais prend un risque politique minimal.
L’ancien premier ministre britannique est entendu mercredi dans le cadre d’une enquête publique sur la gestion politique de la pandémie, à la suite de vives critiques d’anciens collaborateurs.
A la fin mai, lors d’une audition parlementaire, l’ancien conseiller du premier ministre avait dénoncé la gestion de la crise du Covid-19 par le gouvernement, sans fournir de preuve.
Le gouvernement britannique a fait preuve de souplesse et d’un sens de l’intérêt national pour mener la campagne vaccinale. Exactement ce qui a manqué dans la gestion du divorce avec l’Union européenne.
Ces annonces interviennent plus tôt qu’attendu, dans un contexte de crise sans précédent pour le premier ministre britannique, englué dans le scandale des fêtes à Downing Street pendant les confinements.