Cœur, poumons, placenta... les multiples dégâts des microparticules

Si nous ingérons et inhalons, chaque semaine, quelque 5 grammes de microparticules de plastique, il n'est presque pas étonnant d'apprendre que la pollution vient aussi se loger dans le placenta : des particules de carbone suie, issues des gaz d’échappement, ont été retrouvées dans le...

Consommer son placenta après la naissance d'un enfant est une tendance minoritaire mais réelle. Une étude scientifique montre qu'elle n'améliore pas la santé de la mère et pourrait même présenter des risques.

Les effets de la présence de ces microparticules sont encore à déterminer, mais de précédents travaux ont montré qu’elles pouvaient diffuser des substances chimiques et des bactéries.

Une équipe de recherche a mis au point une technique pour augmenter la durée de vie avant transplantation de poumons sur un modèle animal. La greffe pulmonaire est actuellement limitée: 80% des poumons donnés sont trop abîmés pour la greffe.