L’année 2015 s’est terminée sur une note positive à la suite de l’adoption de l’accord de Paris sur le climat et de l’adoption par le Québec de la cible de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) la plus ambitieuse en Amérique du Nord.
Même s’il estime que l’avenir du Québec ne passe pas par les énergies fossiles, le premier ministre Philippe Couillard ne voit pas de contradiction dans le fait d’ouvrir la porte à l’exploitation des hydrocarbures tout en affirmant sa volonté de lutter contre les changements...
Le ministre Pierre Moreau reconnaît du même souffle qu’« il n’y a pas d’acceptabilité sociale à l’égard de la fracturation », un procédé que Québec compte pourtant autoriser.