Les températures plus basses poussent à rester chez soi et à aérer moins souvent, ce qui peut faire stagner le virus, outre des défenses immunitaires affaiblies en hiver.
« Il apparaît sans équivoque qu'un taux de pollution élevé favorise la propagation du virus, assure Jocelyn Chanussot, chercheur GIPSA-Lab et professeur à Grenoble INP Ense3 co-auteur d'une étude sur le sujet. Cela peut vraisemblablement s'expli...
Les chercheurs établissent des modélisations mathématiques pour tenter de prédire la propagation du virus. Ces calculs doivent être sans cesse mis à jour.
Une nouvelle souche, identifiée chez plus de 1000 personnes, pourrait être impliquée dans la propagation "exponentielle" du virus dans le sud-est de l'Angleterre.