Une start-up française associée à un institut de recherche toulousain a modifié une enzyme dégradant le PET pour améliorer son efficacité. Les résultats, spectaculaires, ont été publiés dans la revue scientifiqueNature.
Une équipe anglo-américaine a créé, par hasard, une version mutante d’une enzyme qui digère le plastique, découverte en 2016. Elle est désormais encore plus efficace.
Des chercheurs ont créé une « super enzyme » en combinant deux enzymes d’une bactérie mangeuse de plastique. Cette dernière, optimisée pour dégrader le PET, pourrait servir à décomposer les matières mixtes difficiles à recycler comme les vêtements synthétiques.
Une technologie élaborée par une entreprise française, basée près de Clermont-Ferrand, vient de faire l'objet d'une publication dans la revue Nature. Ce procédé permettra le recyclage par voie biologique du PET (polytéréphtalate d'éthylène), l'un des plastiques les plus communs et le...
Des chercheurs ont créé une « super enzyme » en combinant deux enzymes d’une bactérie mangeuse de plastique. Cette dernière, optimisée pour dégrader le PET, pourrait servir à décomposer les matières mixtes difficiles à recycler comme les vêtements synthétiques.