Administrées à environ 80.000 personnes chaque année, ces chimiothérapies peuvent être très toxiques si le patient n’a pas la capacité de les éliminer. Un test préalable est désormais obligatoire.
La toxicité cardiaque du protocole de chimiothérapie utilisé chez 5 patients atteints de lymphome reste l’hypothèse la plus probable du décès de 3 d’entre eux, du 10 au 13 novembre.
Le résultat d’un autotest de détection du coronavirus doit, lui, toujours faire l’objet d’une confirmation par un test antigénique, en pharmacie, ou PCR, en laboratoire.
En France, 6000 patients atteints de cancers colorectaux pourraient voir leur chimiothérapie passer de 6 à 3 mois, selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine.