Chaque jour, 200 femmes meurent de saignements excessifs lors de l’accouchement. Un fardeau en partie évitable en accélérant le diagnostic et en améliorant la prise en charge des femmes.
Si le taux de décès chez les jeunes mères varie peu en France, les causes évoluent, avec un recul des complications liées à l’accouchement. La dépression du post-partum en revanche pèse lourd.
Le nombre de décès dû à des hémorragies lors d’accouchements a été divisé par deux en dix ans. Cependant, plus de la moitié de ces décès auraient encore pu être évités.