La pollution atmosphérique est devenue le quatrième facteur de décès prématuré dans le monde, entraînant un manque à gagner de centaines de milliards de dollars pour l’économie mondiale, selon un rapport de la Banque mondiale.
Le rapport de l’Agence internationale de l’énergie prévient que le nombre de décès attribuables à la pollution atmosphérique extérieure passera de 3 millions aujourd’hui à 4,5 millions d’ici 2040.
La pollution atmosphérique extérieure est responsable de plus de 3 millions de décès prématurés chaque année, principalement en Asie, un chiffre qui pourrait doubler d’ici à 2050, selon une étude publiée dans la revue scientifique britannique Nature.
La pollution atmosphérique extérieure est responsable de plus de 3 millions de décès prématurés chaque année. C'est plus que le nombre de décès liés au sida et au paludisme combinés. Ce chiffre...