Un programme, mis en place par l’association France-Parkinson en 2015 et soutenu par le ministère, permet à certains malades d’être intégrés aux équipes chargées de l’éducation thérapeutique des patients.
De nombreux malades sont encore en activité lors du diagnostic, posé à 58 ans en moyenne. Ils doivent alors faire face aux symptômes invalidants de la maladie.