L'Ifpen a étudié le comportement des systèmes de dépollution de dix voitures. Les constructeurs ont tendance à les paramétrer de sorte à assurer un fonctionnement optimal lors des cycles d'homologation.
Visé par une enquête pour « tromperie aggravée », le constructeur français a utilisé un système de dépollution qui ne fonctionnait pas en dessous de 50 km/h.
Renault a contesté ce mardi «avoir commis la moindre infraction» et souligné que «ses véhicules ne sont pas équipés de logiciels de fraude aux dispositifs de dépollution».
Quelques 700.000 véhicules diesel Renault pourraient être concernés par un dépassement des normes antipollution. Le constructeur a déjà entamé le rappel de quelques 15.000 Renault Captur.