Le 1er février, Emmanuel Macron avait créé la polémique en niant la dangerosité de ce pesticide qui contamine les Antilles. Une étude publiée le 21 mars confirme sans détours son potentiel cancérigène.
Le président a affirmé vendredi qu’« il ne faut pas dire que ce pesticide est cancérigène », soulevant l’indignation. Mais l’Elysée récuse tout « retour en arrière » sur le sujet.