Publié le 11 mai, le rapport annuel de l’IDMC vient rappeler que les dérèglements climatiques, les dégradations de l’environnement sont bel et bien devenus un des principaux facteurs de migrations des personnes dans le monde.
A la fin 2020, 55 millions de personnes vivaient en exil dans leur propre pays, un record. Près de 41 millions de nouveaux déplacements internes ont été enregistrés l’an dernier, dont les trois quarts en raison de catastrophes environnementales.
Avec 335 évènements par an, le nombre de catastrophes naturelles liées au climat a augmenté à l’échelle des décennies : c’est un des résultats du décompte réalisé par une agence des Nations unies et détaillé dans un rapport.