L’analyse de ces particules ultrafines montre qu’elles provenaient « du trafic routier, mais aussi du chauffage au bois et de la transformation de gaz polluants dans l’atmosphère », estime l’observatoire de l’air en Ile-de-FranceAirparif.
L’observatoire de la qualité de l’air en Ile-de-France a relevé une concentration moyenne de 23 000 particules par centimètre cube au milieu du plus important aéroport de France, au même niveau que la pollution enregistrée sur le périphérique.
Les hydrocarbures aromatiques polycycliques sont cancérogènes et se trouvent à la surface des particules ultrafines émises en grand nombre par les véhicules diesel. Contrairement aux NOx, ils ne sont pas surveillés