Les cours du cuivre, du plomb, du nickel, du soja, du maïs, du colza, de l’huile de palme ou de sucre chutent. Sans surprise, seul l’or profite des craintes des investisseurs.
L’onde de choc suscitée par la chute de la Silicon Valley Bank et les craintes sur le secteur bancaire pèsent sur le cours de l’or noir, observe dans sa chronique Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ».
L’envolée des prix du pétrole, du blé ou du nickel s’explique bien sûr par la guerre en Ukraine, mais reflète aussi une financiarisation croissante et une complète dérégulation des matières premières commencée il y a quarante ans. En leur cœur se trouvent des entreprises de courtage...
Depuis le 21 janvier, l’onde de choc du coronavirus s’est diffusée sur les marchés financiers, note l’analyste financier Karl Eychenne, dans une tribune au « Monde », mais les investisseurs ont adopté des stratégies de repli, avant d’acquérir la conviction que le pire ne...