La maladie, transmise par les eaux souillées et les mauvaises conditions d’hygiène, est alimentée par les conflits et la pauvreté, et amplifiée par le changement climatique, dont l’impact est de plus en plus visible.
Alors que Haïti avait annoncé l'élimination officielle du choléra, une nouvelle épidémie vient frapper le pays. Les autorités s'inquiètent de la situation et craignent une insuffisance de vaccins.
La production mondiale de doses n’est plus assurée que par un seul fabricant alors que les flambées se multiplient dans un contexte de vulnérabilité post-Covid.
Dans sa chronique au « Monde », l’économiste Paul Seabright évoque une étude récente consacrée aux traces très inégales laissées par l’épidémie de choléra de 1854 dans la géographie des quartiers urbains de la capitale britannique.