Des études alarmantes sur la dégradation de la biodiversité ne suscitent aucune réaction à la hauteur des enjeux. Peut-être parce que cette destruction de la nature pourrait doper la croissance, estime dans sa chronique Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ».
Les espèces animales qui prolifèrent actuellement en ville sont les mieux armées pour résister à la destruction de la nature, à la pollution et au changement climatique : pouvoir survivre dans cet environnement nocif est une preuve de résistance sur le long terme.
À Marseille (Bouches-du-Rhône), le Congrès mondial de la nature s'est ouvert vendredi 3 septembre pour tenter de mettre en place des mesures concrètes pour endiguer la destruction de la biodiversité. Etat des lieux.
Les agents de l'Office français de la biodiversité interviennent pour stopper l'arrachage de haies, y compris pendant le confinement. L'occasion de s'interroger sur les moyens dont disposent les inspecteurs de l'environnement en la matière.