Patrick Artus : « Eviter l’emballement climatique serait un investissement bien plus rentable que la chasse aux déficits publics »
Le Nouvel Observateur, le
27/05 à 07h30
Par
Claude Soula
#Economie
« Si rien ne change, en 2050, l’Europe ne pèsera plus que 15 % de la richesse économique mondiale contre 21,5 % aujourd’hui, alors que les Etats-Unis passeront de 29,5 % à 35 % du PIB mondial », alerte l’économiste, qui craint que cet affaiblissement ne permette pas de financer la transition environnementale.
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