Une approche non-médicamenteuse et non-invasive, utilisant des sons et de la lumière, permettrait d'éliminer les plaques amyloïdes. Malgré l'accumulation de résultats expérimentaux prometteurs, cette hypothèse continue de faire débat.
L'envoi d'impulsions électriques dans le cerveau à un stade précoce de la maladie semble donner des résultats positifs, bien que limités dans le temps.
Des ultrasons pourraient faciliter l'élimination des protéines toxiques accusées de causer cette pathologie. Un essai clinique est en cours à la Pitié-Salpêtrière.
Grâce à des mécanismes de compensation, sans doutes stimulés par les interactions sociales, notre cerveau serait capable de retarder l'apparition des symptômes en cas de maladie d'Alzheimer.