Le débat sur les «violences obstétricales» a contribué à réduire la fréquence de cette incision encore très pratiquée pendant les accouchements jusqu’à récemment. Son taux ne devrait pas excéder 10%, selon l’OMS.
Près d'une femme sur deux est confrontée à l'épisiotomie au cours de son premier accouchement. Cependant, cette pratique doit être justifiée et exécutée avec le consentement de la patiente, ce qui n'est pas toujours le cas.
Une dose délivrée de façon préventive lors d’un accouchement avec extraction instrumentale réduirait les complications infectieuses, notamment celles qui sont liées à une épisiotomie.