D'ici au 20 juillet, l'Iran doit trouver avec les Occidentaux un accord définitif au sujet de son programme nucléaire. Si ce n'est pas le cas, c'est le ciel iranien qui risque d'en payer le prix.
Le groupe « 5+1 » et l'Iran négocient depuis le début de l'année un accord historique devant garantir aux grandes puissances que l'Iran ne cherche pas à se doter de la bombe atomique.
La seule centrale nucléaire d’Iran, à Bouchehr, dans le sud du pays est à l’arrêt pour « quelques jours » après une « défaillance technique », selon l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA).
L'entrée en vigueur de l'accord intérimaire sur le nucléaire a déclenché de larges critiques dans la presse iranienne et parmi les militants conservateurs.
L’unique centrale nucléaire iranienne, construite dans une zone sujette à de fréquents tremblements de terre, avait vu ses activités stoppées en raison d’une « défaillance technique ».