Nucléaire : le démantèlement d'Eurodif devrait faire l'objet d'une nouvelle enquête publique

Actu Environnement, le
Par
#Risques
Nucléaire : le démantèlement d'Eurodif devrait faire l'objet d'une nouvelle enquête publique
L'Autorité environnementale juge irréaliste la gestion des déchets de très faible activité issus du démantèlement d'Eurodif. Areva devra probablement les stocker au Tricastin ou les recycler, ce qui impose une nouvelle enquête publique.
Articles qui devraient vous intéresser :

Le site nucléaire du Tricastin à l'aube d'un démantèlement pharaonique

Le Parisien
Le site nucléaire du Tricastin à l'aube d'un démantèlement pharaonique
Une page de l'histoire nucléaire française se tourne. L'usine Georges-Besse I d'Eurodif, inaugurée en 1979 sur le site du Tricastin dans la Drôme et arrêtée en juin 2012, sera démantelée. En plus de trente...

Nucléaire : quel coût pour le démantèlement ou le maintien ?

Actu Environnement
Nucléaire : quel coût pour le démantèlement ou le maintien ?
Alors que le groupe Écologiste vient de déposer à l'Assemblée Nationale une proposition de résolution pour la création d'une commission d'enquête sur les coûts de la filière nucléaire, trois députés UMP demande eux la création d'une commission d'enquête sur les conséquences d'un...

« La radioactivité, ça ne se voit pas, ça ne se sent pas, donc les gens s’en fichent » : à Brennilis, le nucléaire ne mobilise plus

Le Monde
« La radioactivité, ça ne se voit pas, ça ne se sent pas, donc les gens s’en fichent » : à Brennilis, le nucléaire ne mobilise plus
Mise à l’arrêt en 1985, la centrale des monts d’Arrée a été la première en France à connaître un début de démantèlement. Une nouvelle enquête publique se tient pour valider ou non la fin du chantier. Dans l’indifférence.

Le projet de création d’une nouvelle Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection entre dans une nouvelle phase

Le Monde
Le projet de création d’une nouvelle Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection entre dans une nouvelle phase
Le texte portant sur la réforme contestée de la gouvernance de la sûreté nucléaire, qui prévoit le démantèlement de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, devrait être débattu au Parlement à partir de février 2024.