Dans son livre L’Instinct de vie, Patrick Pelloux raconte comment, lors de l’attentat de Charlie, le médecin urgentiste a agi comme un «automate» sur un champ de bataille jonché de ses amis.
Les officiels de la COP21, aux tendances conservatrices, avaient besoin d'être secoués par la société civile. Les attentats en ont voulu autrement. Par Jean-Christophe Gallien, Professeur associé à l'Université de Paris 1 la Sorbonne