Le gouvernement a décidé d’interdire cette production d’ici à 2025, en démantelant de manière progressive ses 200 à 250 fermes, qui exploitent 610 000 visons et 150 000 renards.
Dans une tribune au « Monde », huit associations appellent à la mise en place de « clauses miroir » et d’une limitation des importations d’animaux exploités dans des élevages qui se soucient le moins des normes sociales, écologiques et de celles portant sur la condition animale.