La majorité des organes sont prélevés dans des hôpitaux périphériques (non universitaires) où les comités de coordination locaux jouent un rôle de premier plan.
Cet anticorps monoclonal doit protéger les nouveau-nés des formes graves de la maladie, et soulager les soins intensifs pédiatriques mis à rude épreuve chaque hiver.
Si la plupart des malades hospitalisés en soins intensifs récupèrent après une longue rééducation, certains gardent des séquelles neurologiques ou psychologiques qui sont difficilement décelables.