A Shenyang et à Changchun, un épais brouillardpolluant de couleur grisâtre baignait les rues, avec, par endroits, une densité de particules nocives cinquante fois supérieure au plafond recommandé par l’OMS.
« Airpocalypse », c'est ainsi que les Chinois surnomment les situations d'extrême pollution qui plongent les grandes villes du pays dans un épais brouillard toxique. Mais comment la Chine en est-elle arrivée là ?