Les infrastructures ont relâché environ 70 000 tonnes de méthane, un puissant gaz à effet de serre, soit l’équivalent des émissions de Paris pendant un an. Le risque d’une « bombe climatique » est écarté.
Les autorités de Stockholm ont constaté « des détonations près de Nord Stream 1 et 2 dans la zone économique exclusive suédoise, qui ont entraîné d’importants dégâts sur les gazoducs ».
Trois importantes fuites ont été constatées sur des gazoducs au large de l’île de Bornholm, au Danemark, les 25 et 26 septembre. Copenhague et Varsovie accusent la Russie d’être impliquée dans « un acte de sabotage ».
Ce sont quatre vastes fuites libérant des dizaines de milliers de tonnes de méthane qui ont touché depuis le début de la semaine dernière les deux pipelines, au large de l’île danoise de Bornholm