INFOGRAPHIE - Afin de rester chez eux le plus tard possible, ils plaident pour une alternance entre le domicile et les établissements médicalisés selon un sondage Odoxa.
Plus d'un million de Français sont déjà concernés, et ils pourraient être deux millions à terme. Si les scientifiques commencent à mieux comprendre leurs symptômes, la prise en charge reste lacunaire.
La Haute autorité de santé a publié des recommandations pour la prise en charge de la boulimie et de l’hyperphagie boulimique, des pathologies mal repérées et donc trop peu prises en charge.