Les éleveurs français espèrent obtenir le soutien du Parlement pour donner plus de poids à leur revendication sur la stabilisation de la production de lait.
La filière laitière a été une des premières à tirer le signal d’alarme. La crise s’est progressivement étendue aux œufs, aux poulets, aux fruits et légumes et même aux céréales.
La demande croissante de lait bio doit permettre d’assurer la relève du secteur, assure, dans une tribune au « Monde », le collectif Faire bien, notamment animé par Les prés rient bio, qui représente 2,5 % de cette collecte laitière en France.
Afin de tenter de juguler la profonde crise du lait et du porc, deux secteurs sinistrés par les surplus et les baisses de prix, Stéphane Le Foll est allé plaider, lundi, la cause des agriculteurs à Bruxelles.