Les premières injections de ce vaccin, qui utilise une technologie classique ne reposant pas sur l’ARN messager, pourraient avoir lieu « début février », a déclaré la semaine dernière le ministère de la santé.
La Haute Autorité de santé a donné son feu vert à l’utilisation du vaccin, vendredi 14 janvier. Les experts français espèrent que la technologie traditionnelle utilisée par le laboratoire américain lève les doutes de certains sceptiques hostiles à l’ARN messager.
La Haute autorité de santé propose notamment "de prioriser la vaccination des collégiens" de moins de 12 ans et estime "que le vaccin de Pfizer peut être utilisé à partir de l'âge de 5 ans".
L'Agence européenne vient d'approuver le vaccin développé par le laboratoire américain Novavax. Sa technologie diffère de celles actuellement utilisées en Europe.
La HAS explique sa « position de prudence » par la procédure d’autorisation de mise sur le marché qui concerne encore le vaccin sur son usage lors des campagnes de rappel.