Une nouvelle « enquête flash », lancée mardi 30 mars, doit permettre de mieux apprécier l’émergence et la circulation de variants du SARS-CoV-2, qui se sont multipliés partout dans le monde ces derniers mois.
Masquer les expressions faciales rend l'identification des émotions plus difficile, mais pas impossible, selon une étude de l'université du Wisconsin-Madison.