Le président a affirmé vendredi qu’« il ne faut pas dire que ce pesticide est cancérigène », soulevant l’indignation. Mais l’Elysée récuse tout « retour en arrière » sur le sujet.
L’Elysée pense que ce vaccin, sans ARN messager, peut être une réponse à la résistance à la vaccination qui touche les départements et collectivités d’outre-mer.