Sur 58 % de la surface terrestre, habitée par 71 % de la population mondiale, les services rendus par la nature sont compromis par la disparition accélérée des espèces.
La surexploitation des océans met en péril près de la moitié de la population humaine mondiale qui dépend de la pêche pour couvrir ses besoins en protéines. Il est pourtant possible de se régaler avec du poisson, des coquillages et des crustacés ultra-frais, durables et éthiques. Voici...
Un Indien sur deux fait ses besoins dans la nature, soit près de 600 millions de personnes, faute de toilettes dans les foyers des familles rurales ou de WC public accessibles.
Contrairement à la cosmologie occidentale moderne, qui a transformé la nature en ressources et en matière inerte à disposition des humains, les cosmologies africaines définissent la nature en un ensemble vivant, dynamique et ouvert.