Selon les informations du « Monde », l’examen des images de vidéosurveillance ne permet pas d’étayer les propos de la société Lubrizol, qui affirme que le feu du 26 septembre a commencé en dehors de l’usine.
La direction de l’entreprise affirme que la « vidéosurveillance » et des « témoins oculaires » suggèrent que l’incendie de jeudi a débuté à « l’extérieur » du site. Le premier ministre est attendu sur place dans la soirée.
Des habitants voisins de l’usine incendiée de Rouen disent avoir été contactés par des laboratoires se prétendant mandatés par la préfecture. C’est une arnaque.
La persistance de points chauds sur les sites concernés ne permettait pas jusqu’à présent de procéder aux constatations sur le terrain, précise le Parquet de Paris.